Ca s’écharpe dur dans le harem présidentiel, et c’est plutôt rigolo.
Au cas où vous n’auriez pas suivi.
Dans la 1ere circonscription de Charente Maritime, Ségolène Royal (investie par le PS au détriment d’Olivier Falorni député PS sortant), est arrivée de peu en tête au premier tour.
Contre toute attente, le sortant (député de cette circonscription depuis longtemps) n’a pas envie de se désister au profit d’une parachutée. On peut le comprendre, d’autant qu’il récupère pour le second tour, le soutien de l’UMP prêts à toutes les taquineries pour faire battre Ségolène.
Ce qui est plus amusant, c’est que l’actuelle compagne du Président de la République, Valérie Trierweiler a fait une entrée fracassante dans le psychodrame de la Rochelle, en prenant fait et cause pour le dissident, alors que le PS a envoyé Martine Aubry et Cécile Duflot pour soutenir officiellement Ségolène.
Dans une semaine, on en parlera plus, et on ne retiendra que le nom de l’élu, pas du perdant. Mais l’histoire était marrante. Valérie Trierweiler, réputée pour son sale caractère, son besoin “d’exister” près de notre Président (très remarqué lors des différentes cérémonies d’investiture) aurait décidé de se positionner contre sa prédecesseure ! Pousse toi de là que je m’y mette … à l’Elysée ?
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Entre Aubry l’emmerdeuse, Ségolène l’ex, et Valérie l’encombrante, finalement il n’y a que Cécile Duflot qu’emmerde pas !
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Très marrant.